Et les fondations furent coulées ...

Que le temps passe vite. Depuis la dernière publication, j'ai hélas manqué plusieurs occasions de publier de nouvelles étapes (joyeuses ou non). Je vais me rattraper dans cette petite synthèse :

Les fondations ont finalement eu lieu "presque" comme prévu car le terrassier ayant commencé un peu plus tard que prévu (les aléas des métiers du BTP dirons nous), la toupie pour le béton n'étant pas un véhicule qui se trouve instantanément, et la synchronisation étant un enjeu majeur entre les acteurs (terrassier, maçon et livreur de béton), le travail a finalement été fait le vendredi 22.

Quel vrai soulagement quand le "tracé au sol" s'est révélé.

Ensuite, il a fallu programmer rapidement (avant les congés des maçons le 5 aout) la préparation et la réalisation de la dalle dont le temps de séchage est de près de 3 semaines.

Le point bloquant a été rapidement le manque d'eau. La mairie est prête à faire le raccordement, en s'appuyant sur le chantier de raccordement à l'assainissement réalisé sous le contrôle de la communauté de communes. Hélas, malgré les relances, il semble que cette dernière soit TRES perfectible pour obtenir la réalisation du travail que j'ai validé par écrit (pour la petite histoire, la personne responsable ne veut pas me parler en direct et se sert de la secrétaire pour communiquer ... mais j'entends tout car le micro n'est pas coupé. La classe !). Donc, je n'ai toujours pas de perspectives.

Après recherche et soutien très amical de nos futurs voisins, un robinet a été rendu accessible exceptionnellement pour quelques jours. Le travail semblait pouvoir reprendre quand le ciel nous est tombé sur la tête.

Alors que je me renseignais pour l'eau auprès de la mairie, j'ai appris le 25 juillet que fin juin, lors d'un contrôle de légalité, le Préfet avait demandé à ce que le permis de construire soit retiré en raison d'une pente de toit non conforme. Avec une performance indigne de la Poste, le courrier est arrivé en mairie le 18 juillet pour finalement me laisser 3 jours pour répondre au problème posé (du 25 au 28 juillet).

Dur, surtout quand la question est aussi tordu que peut l'être un texte de loi.

Mais comme souvent, et grâce à l'intervention de certaines personnes de la famille sur place, une solution a pu être trouvée et le chantier n'a pas été interrompu. Je développerai peut être plus tard. Mais l'essentiel est sauvé, le travail continue.

La pose des premiers rangs de parpaings et la dalle seront réalisés dès mardi 2 aout ...

Mais on voit bien que rien n'est simple ... et nous n'avons pas encore fait beaucoup.

A suivre

J-4 pour les fondations

Après la réalisation du "trou" monumental et la pose des "chaises" pour délimiter dans ce fameux trou l'emplacement réel de la maison, il est prévu normalement, en fin de semaine, de couler les fondations.

Avec une superficie moindre et une distance à la route plus courte, ce travail aurait pu être fait mercredi mais hélas, il faut un camion équipé d'une pompe pour acheminer le béton jusqu'au bout et ce dernier n'est pas disponible avant vendredi. Et il est évident que personne ne peut faire çà "à la main".

Ce n'est évidemment pas bien grave et dans tous les cas, deux de plus ne devraient pas empêcher d'atteindre l'objectif de préparation de la rentrée de septembre où il faudra empiler les parpaings ...

Petite information : pour assurer un meilleur rendement de la maison, il est envisagé de faire une isolation par le sol. A voir en fonction des possibilités de récupérer le matériel. Je ferai le point en fin de semaine.

Un petit terrassement ...

Pour ceux qui en douteraient encore, les travaux sont lancés ! Je ne pense pas nécessaire de faire un trop long article pour argumenter ...

Raccordement à l'assainissement

Je viens de valider le devis de travaux de raccordement aux services d'assainissement. Après l’électricité (environ 1000 euros), ce sont 800 euros de plus à mettre dans le cochon des "fluides et énergies".

En estimant le coût plutôt régulier des prestations, je pense que le gaz et l'eau augmenteront la facture de 1000 euros de plus chacun, soit un total de 3800 euros.

Les paris sont ouverts.

Enfin sur les rails ?

Après de longs moments de "patience suggérée", les travaux de terrassement ont enfin débuté. Toutefois, en attaquant une telle charge de travail un jeudi, et tout en sachant que 10 à 15 jours pouvaient être nécessaires, il était illusoire de voir s'achever ce premier acte dès le début de la semaine en cours.

Mais positivons et regardons où nous en sommes. Le terrassement est quasi terminé, les travaux de maçonnerie sont planifiables et avec quelques aménagements dont les pros du BTP ont le secret, on pourrait même imaginer qu'on est complètement sur le tracé idéal ...

J'attends donc de voir dans les prochains jours quelle sera l'option retenue pour couler un peu de béton dans trou devenu aussi gros qu'une piscine de compétition (ou presque ;-) ).

A suivre, une nouvelle fois.


Ci-dessous le premier cliché officiel. Il sera intégré à un petit diaporama en cours de réalisation.

Le départ

On y est : le premier coup de pelleteuse a été donné ce matin. Enfin.

Rien n'est jamais simple, tout s'arrange ! Cela pourrait être un slogan ... mais j'espère que nous ne serons pas trop souvent amenés à nous y rapporter.

Cette première étape est une entrée de la seconde : débuter les fondations la semaine prochaine. Le chemin est encore long mais au moins, on a commencé à rouler.

Otage cravantais : un jour de plus pour le terrain !

L'avantage quand on attend un évènement et qu'il ne se produit pas, c'est qu'on se dit toujours : bon, maintenant c'est sûr, c'est pour demain ...

Sauf que là, çà fait plusieurs semaines que l'on attend le terrassier. On a eu un "sous trois semaines", puis un "sous quinzaine", puis un "à compter du 15 juin", puis un "dès que j'ai fini de combler le déficit en personnel (blessé suite à une chute)", puis un "sans faute cette semaine, et on vient à deux pour aller plus vite" ...

Et on attaque le 3ème jour de cette fameuse dernière version.

Allez, va, on a encore un an devant nous mais, un jour, il va falloir y aller. Car là, il y en a marre !